Avec ce roman, le lecteur pénètre dans un "outremonde, un espace
souterrain ou parallèle, en lisière de l'autre." (p75)
Grâce à son écriture singulière, Maylis de Kerangal sait dire la mer,
l'amour, et la douleur insensée "qui ne parvient pas à trouver de
traduction possible".
Ce sont les destins de Simon ce "presque mort" et de Claire "vivante
en sursis" qui se jouent pendant ces 24 heures du récit car il "faut
enterrer les morts et réparer les vivants".
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