L'auteur essaie d'exorciser les maux de son enfance en passant par les
mots qui l'ont sauvée
et libérée.
Comme dans les "Oranges..." (mais sans le ressort de la fiction), elle
instaure une distance
comique sur les épisodes douloureux de ces 16 ans où la littérature et
l'amour lui ont été
refusé.
[...] J'ai eu besoin de mots parce que les familles malheureuses sont
des conspirations du
silence. [...] P18
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